Les Mecs

Daniel et Jean-Noël, deux souriceaux à la sensibilité exacerbée, sont les victimes récurentes de Cauchemar souris. Ils voient en leur bourreau un modèle de maturité. Cauchemar souris est tel un grand frère érudit, tel un fin connaisseur de l’âme animale, et qui tient à faire découvrir le monde alentour par le biais d’expériences initiatiques enrichissantes. Rigoureux, et contrairement à leur mentor, ces deux petits persévérants utilisent un langage de bonne tenue qu’ils estiment indispensable en toutes circonstances, même si sous le choc d’une déception, ils se permettent quelques larmes régressives. De plus, Les souriceaux doivent traverser cette épreuve d’oser s’imposer à une période difficile de leur vie (cf. Françoise Dolto, Le complexe du homard), et la sagesse qu’ils perçoivent étrangement chez Cauchemar souris le désigne volontiers comme le guide idéal.

Peu importe si la joie de vivre ou la bonne humeur dominent au départ, Cauchemar souris a un plan...